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York souligne la Journée internationale des personnes en situation de handicap

Le 3 décembre, l'Université York s’associe au monde entier pour célébrer la Journée internationale des personnes en situation de handicap.

Chaque année, des initiatives sont organisées à cette date afin de sensibiliser le public aux questions liées au handicap et de mobiliser le soutien en faveur de la dignité, des droits et du bien-être des personnes en situation de handicap. Cette journée nous rappelle qu'il est important de prioriser la participation des personnes en situation de handicap aux processus décisionnels ayant une incidence sur leur vie et sur nos communautés.

Selon les Nations Unies, les personnes en situation de handicap sont « la plus grande minorité au monde ». Elles ont souvent une santé plus fragile, un niveau d'éducation moins élevé, moins d'opportunités économiques et un taux de pauvreté plus élevé que les autres. De plus, elles doivent surmonter des obstacles à l'emploi et courent un risque plus élevé de violence, parmi d’autres problèmes liés au bien-être.

La Stratégie de décolonisation, d'équité, de diversité et d'inclusion de York a plusieurs objectifs, comme la pleine participation à la vie de la communauté, notamment en matière de prise de décision et de leadership. Les barrières capacitistes sont une entrave aux contributions des personnes en situation de handicap. Cela nuit à des communautés toutes entières et réduit la diversité des idées, des talents et des possibilités qui s’offrent à nous.

La Convention relative aux droits des personnes handicapées (CDPH) reconnaît que l'existence d’obstacles est un élément fondamental du handicap. L'Université a récemment reformé son comité de coordination LAPHO afin de poursuivre son travail de suppression des obstacles à l’accessibilité rencontrés par les personnes en situation de handicap. Nous encourageons les membres de la communauté à rafraîchir leurs compétences (par exemple, en rendant accessibles des documents Word ou des réunions Zoom et d'équipes), à mieux s’informer (par exemple, en participant à l'atelier « Remettre en question les notions de capacitisme » ou en se familiarisant avec les principes et les pédagogies de la conception universelle de l'apprentissage), et à réfléchir à des moyens de contribuer à une communauté universitaire plus accessible et plus inclusive (par exemple, en organisant des événements inclusifs, en accueillant des étudiants et étudiantes en situation de handicap.

Merci. Thank you. Miigwech.

Laina Y. Bay-Cheng 
Professeure et vice-présidente de l’équité, des personnes et de la culture 

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