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As a researcher and advocate for Indigenous peoples, alumna Emily Wright (BA ’17) is working to advance Truth and Reconciliation and make a meaningful difference for Toronto’s Indigenous communities.
“I was extremely honoured to be recognized as a changemaker by York University for my contributions to the Indigenous community,” says Emily, who is Anishnaabe kwe from Wasauksing First Nation near Parry Sound, Ontario. “Education is a huge barrier to a lot of Indigenous peoples, but I have persevered and become successful in my pursuit to give back to my community.”
Emily is creating positive change for Toronto’s Indigenous residents in her role as Indigenous youth research associate at the City of Toronto, where she leverages the logic and analytical skills that helped her succeed as a mathematics student at York’s Glendon campus. She credits her student experience at Glendon with helping her get where she is today.
“I wanted to study at a university that was diverse and rich with student culture,” reflects Emily, who completed her bachelor of arts degree in mathematics from Glendon in 2017. “Toronto was on my list of places that I wanted to study because of the diversity of the city! Coming from a small town, I wanted to expand my horizons and create new experiences for myself. Joining the Glendon student council influenced the path that led me to where I am today and provided me with a sense of belonging.”
As a member of the urban Indigenous population herself, her role provides her with the means to bring a unique perspective to the City of Toronto and ensure that the voices of the community feel heard. Developing mutual trust and dialogue with community members has helped identify barriers and solutions for the city to support engagement and relationship-building opportunities with Toronto’s urban Indigenous population. Her ability to create safe spaces for dialogue and build relationships with Toronto’s Indigenous residents and Treaty partners has proven essential to her work.
Emily is currently working on an Indigenous engagement tool to help city employees include Indigenous engagement and perspectives across all City of Toronto projects. By assisting the advancement of Truth and Reconciliation in Toronto, she is navigating the meaningful steps needed to support the many diverse nations that call Toronto their home and utilize the land for ceremony, traditions, and gatherings. Her hope is that by working with the largest municipality of Canada, that they can lead by example through an Indigenous lens.
Understanding the importance of having mentors in both personal and professional life, Emily hopes to volunteer with Indigenous youth in Toronto, providing them with a safe space to gather and to help them to achieve their life goals.
“Revitalizing my culture is very important to me. Sharing my knowledge and skills with other Indigenous youth is a way of giving back to my community and strengthening ties with other Indigenous youth in practicing their culture.”
Emily has big goals for herself as well. “This may be far down the line,” she confides. “But one of my future goals is to be the next chief of my reserve!”
Emily was named one of York University's 2022 Top 30 Alumni Under 30. Learn more about the program and the impressive young alumni on the list.
Pleins feux sur les diplômés : Emily Wright (B.A. 2017, Glendon)
En tant que chercheuse et défenseuse des peuples autochtones, la diplômée Emily Wright (B.A. 2017) s’efforce de faire progresser la cause de la vérité et de la réconciliation et de changer les choses pour les communautés autochtones de Toronto.
« J’ai été extrêmement honorée d’être reconnue par l’Université York en tant qu’artisane du changement pour mes contributions à la communauté autochtone, a déclaré Emily, qui est Anishnaabe kwe de la Première Nation Wasauksing près de Parry Sound, en Ontario. Le parcours éducatif est semé d’embûches pour plusieurs peuples autochtones, mais j’ai persévéré et j’ai réussi dans ma quête afin de redonner à ma communauté. »
Dans son rôle d’associée de recherche sur les jeunes Autochtones à la Ville de Toronto, Emily apporte des changements positifs pour les résidents autochtones de Toronto et elle met à profit les compétences logiques et analytiques qui l’ont aidée à réussir en tant qu’étudiante en mathématiques au campus Glendon de York. Elle estime que son expérience à Glendon l’a aidée à atteindre son but.
« Je voulais étudier dans une université ayant une culture étudiante riche et diversifiée, explique Emily, qui a obtenu un baccalauréat ès arts en mathématiques à Glendon en 2017. Toronto figurait sur ma liste d’endroits où je voulais étudier en raison de la diversité! Venant d’une petite ville, je souhaitais élargir mes horizons et vivre de nouvelles expériences. Le fait de rejoindre le conseil étudiant de Glendon m’a menée là où je suis aujourd’hui et m’a donné un sentiment d’appartenance. »
En tant que membre de la population autochtone urbaine, son rôle lui permet d’apporter une perspective unique à la Ville de Toronto et de s’assurer que les voix de la communauté sont entendues. L’établissement de la confiance mutuelle et d’un dialogue avec les membres de la communauté a permis de définir les obstacles et les solutions pour que la Ville de Toronto soutienne les possibilités d’engagement et de développement de relations avec sa population autochtone urbaine. Sa capacité à créer des espaces sécuritaires au dialogue et à établir des relations avec les résidents autochtones de Toronto et les partenaires des traités s’est avérée essentielle dans son travail.
Elle développe actuellement un outil pour aider le personnel de la Ville à inclure l’engagement et les perspectives autochtones dans leurs projets. En contribuant à l’avancement de l’initiative de « Vérité et réconciliation » à Toronto, elle prend les mesures nécessaires pour soutenir les nombreuses nations diverses qui vivent à Toronto et utilisent le territoire pour des cérémonies, des traditions et des rassemblements. Elle espère qu’en travaillant avec la plus grande municipalité du Canada, celle-ci pourra donner l’exemple en adoptant une perspective autochtone.
Consciente de l’importance d’avoir des mentors dans sa vie personnelle et professionnelle, Emily espère faire du bénévolat auprès des jeunes Autochtones de Toronto, en leur offrant un espace sécuritaire pour se retrouver et les aider à atteindre leurs objectifs de vie.
« La revitalisation de ma culture est très importante pour moi. Partager mes connaissances et mes compétences avec d’autres jeunes Autochtones est une façon de rendre à ma communauté et de renforcer les liens avec d’autres jeunes Autochtones en pratiquant leur culture. »
Emily a également de grands objectifs pour elle-même. « C’est peut-être loin dans le temps, confie-t-elle. Mais l’une de mes ambitions est d’être la prochaine chef de ma réserve! »
Emily a été nommée parmi les 30 meilleurs diplômés de moins de 30 ans de l’Université York en 2022. Apprenez-en davantage sur le programme et sur les impressionnants jeunes diplômés figurant sur la liste.